Dans la présente section, vous pourrez trouver certains documents produits par l’Association des locataires de Villeray sur des enjeux du quartier.

Processus idéal de prise en charge des problèmes de salubrité

Lors de rencontres avec la mairie de l’arrondissement Villeray–Saint-Michel– Parc-Extension (VSMPE) afin de discuter des préoccupations portées par les groupes de défense de droits des locataires et des enjeux locaux, l’idée de réfléchir sur un processus idéal de prise en charge des problèmes d’insalubrité a émergée. Dans cette optique, l’Association des locataires de Villeray (ALV) ainsi que le Comité d’Action de Parc-Extension (CAPE) se sont réunis afin de produire un premier document remis le 14 mars 2018 à la mairie de VSPME. Bonifié, ce présent document vise à présenter des recommandations quant aux dispositifs permettant aux locataires de signaler une situation liée à l’insalubrité, à l’entretien ou encore à la sécurité de leur logement, au processus de traitement d’une plainte, à l’application du Règlement sur la salubrité, l’entretien et la sécurité des logements de la Ville de Montréal (RVM-096), au travail du personnel de la division des permis et inspections, ainsi qu’au suivi des plaintes.

Dossier sombre sur le logement locatif à Villeray (2015)

Le dossier présente des textes sur les questions de luttes passées, des projets de revitalisation et d’aménagement urbain, en recueillant des témoignages et en se penchant sur des alternatives à la gentrification. Le dossier comprend également une boîte à outils si vous vous sentez menacé-e de perdre votre logement.

Les impacts du phénomène AirBnB

«Des réparations à faire dans votre logement ? Un voyage de rêve à réaliser ? Augmentez vos revenus et financez vos passions. […] Vous fixez votre prix et décidez quand vous souhaitez héberger, et à quelle fréquence.»1

C’est avec ce discours accrocheur qu’on nous vend cette «plateforme communautaire» qu’est le Airbnb.

Mais est-ce que ce type d’hébergement touristique n’a que des aspects positifs ? Il semble que non. Ces chambres et appartements en location ont d’importants impacts négatifs sur l’hébergement touristique mais surtout, ils accentuent la perte de logements locatifs dans plusieurs quartiers de Montréal.